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michael
Mangaversien·ne


Inscrit le : 03 Sept 2002
Localisation : alsaco-moselane

Message Posté le : 15/08/18 10:31    Sujet du message: Répondre en citant

Citation:
Honnêtement, c'est une des rares fois où je me dis que la version animée est infiniment supérieure à la version papier, avec bien plus d'humanité. Ah oui, et l'opening est une tuerie également.

Waaa, va falloir que je vois ça, c'est obligé !
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"Rien que d'être vivant, de respirer ce jour-là, c'était une vérité qui était comme un inexprimable miracle".
L'audacieux jeune homme au trapèze volant, William Saroyan
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Gemini_
Mangaversien·ne


Inscrit le : 03 Fév 2011

Message Posté le : 21/08/18 21:57    Sujet du message: Répondre en citant

Au Grand Air T1&2 : Rin est une adepte du camping, de préférence en solitaire et en basse saison pour plus de tranquillité. Suite à leur rencontre, Nadeshiko se prend à son tour de passion pour cette activité et décide de rejoindre le club de son lycée.
Nouvelle série de l'éditeur nobi nobi. J'avoue au passage avoir du mal à comprendre comment il fonctionne depuis son rachat par Pika. Possède-t-il encore sa propre équipe, ou est-ce que le choix de publier telle série chez Pika ou nobi nobi se fait selon l'image de marque de chaque label ? La réédition de Shugo Chara chez nobi nobi suggère plutôt la seconde option. En attendant, Au Grand Air vient rejoindre Flying Witch et Une Vie au Zoo. Justement, à l'instar de Flying Witch, j'avais découvert Au Grand Air par son adaptation animée, diffusée sous son titre d'origine Yuru Camp. L'anime m'avait suffisamment plu pour que je jette un Å?il à la version papier.
Si vous avez vu l'anime, alors aucune surprise. L'adaptation s'avère extrêmement fidèle, avec exactement les mêmes situations. Manquent bien entendu les couleurs, la musique, et l'animation. Ce qui serait presque dommage. L'anime apportait une valeur ajoutée par ses paysages colorés et sa direction artistique ; donc même s'il s'agit de lâ??Å?uvre d'origine, le manga n'offre rien de plus par rapport à l'anime, du moins sur ces premiers tomes puisque nous allons nécessairement partir sur de l'inédit à un moment donné.
Au Grand Air est comme vous l'aurez compris un manga sur le camping, didactique puisqu'il donne quelques conseils pratiques (voire même des recettes de cuisine faciles à réaliser), mais avant tout focalisé sur un groupe d'amies entre lycée, voyage (dans leur région), et activité en plein air. Il y a un côté "K-On au camping", à vous de voir si cela vous parle ou non.
Si vous pensez à du camping sauvage, n'oubliez pas que la série se situe au Japon : tout se déroule dans des endroits dédiés, surveillés, avec toutes les infrastructures modernes et des campeurs équipés comme s'ils allaient sur Mars (c'est en tout cas un peu l'impression que cela donne).
Au Grand Air est avant tout un manga détente, zen, avec des héroïnes attachantes et des activités de club. L'auteur semble passionné par son sujet et cela se ressent, mais concrètement, nous voyons surtout un groupe de filles s'amuser et profiter du paysage. Le résultat s'avère étrangement relaxant, dans un ton avant tout léger et humoristique. Cela ne vole pas haut, mais possède un véritable charme.
J'ai pris beaucoup de plaisir à lire ces deux premiers tomes, et lirai la suite sans faute. Mais franchement, je ne sais pas du tout à qui recommander ce titre.


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shun
Mangaversien·ne


Inscrit le : 01 Sept 2002
Localisation : charleroi la ville noir

Message Posté le : 23/08/18 00:48    Sujet du message: Répondre en citant

�tant tombé sur une bonne occaz je me suis repris l'intégrale de "arms" chez kana. On peut dire que la serie démarre à 100% et ne s'arrête pas 2 secondes après 7 tomes. Un bon petit défouloir ( je sais plus si j'avais lu l'intégrale à l'époque ) avec une ambiance nostalgique pas mauvaise.
Mais la ou ça ma fait mal c'est quand j'ai fait le bon en arrière en années ... je me suis remémoré le début de dark kana il me semble avec kyo etc 2-3 ans avant ça fait quand même plus de 15 ans voir même 20 ans. Oufti


Dans un autre sujet. Y a t il encore des lecteurs de rain man ? La série évolue bien ?
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Natth
Mangaversien·ne


Inscrit le : 04 Mai 2008

Message Posté le : 23/08/18 10:32    Sujet du message: Répondre en citant

shun a écrit:
Dans un autre sujet. Y a t il encore des lecteurs de rain man ? La série évolue bien ?

J'ai lu les quatre premiers tomes d'affilée et j'ai trouvé que la série évoluait très bien. Elle commence comme un épisode de Ghost adventures et évolue vers un questionnement sur la nature même de la réalité. Elle ne perd pas non plus son aspect d'enquête et un thème central, autour de la famille du héros, se dessine progressivement. Ma mère a bien aimé cette série aussi. D'habitude elle n'aime pas lorsque le paranormal s'invite dans un manga apparemment tourné vers l'enquête, mais elle a trouvé la façon de présenter ces choses étranges presque réaliste, ce qui lui a plu.
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Gemini_
Mangaversien·ne


Inscrit le : 03 Fév 2011

Message Posté le : 03/09/18 13:59    Sujet du message: Répondre en citant

My Girlfriend is a Fiction : Je ne sais plus si j'avais déjà parlé de la série ou non. En tout cas je viens de terminer ma lecture du quatrième et dernier tome hier, ce alors qu'il est sorti depuis des mois.
Yuri imagine depuis l'enfance la petite amie idéale : Michiru. Ce ne sont pas moins de 99 cahiers qu'il a noircis au fil des années, les remplissant de notes et de croquis toujours plus détaillés de la belle, selon ses envies et problèmes du moment. Mais lorsqu'il tombe amoureux d'Hibi, une de ses camarades et romancière à succès, il décide de brûler ses cahiers et de dire adieu à Michiru. Un acte qui a en réalité pour effet de la faire apparaitre en chair et en os devant un Yuri médusé.
Comédie romantique pour adolescents et jeunes adultes, ce qui suffit à résumer les principaux écueils de la série. A savoir beaucoup de personnages féminins, beaucoup de personnages féminins amoureux du héros sans raison apparente, des poses plus ou moins suggestives, vous saisissez le concept.
Là où ce titre se démarque, c'est non seulement dans sa façon de traiter la force créatrice et les responsabilités d'un auteur vis-à-vis de ses personnages, mais aussi parce que Yuri a souhaité cette situation sans vraiment saisir ce à quoi il s'exposait.
Car comme de bien entendu, après plus de dix années à écrire les caractéristiques de son alter ego féminin, parfois sous le coup de colère, le résultat est quelque peu extrême. D'autant qu'il a eu largement le temps d'oublier certaines de ses particularités, notamment les plus infantiles. C'est ainsi que Michiru est aussi amoureuse que jalouse, qu'elle s'endort automatiquement à 21h tous les soirs, qu'elle fait la cuisine nue sous un tablier (un fantasme purement japonais), qu'elle ne sait préparer que le plat préféré de Yuri au moment où il lui a donné cette particularité, ou encore qu'elle dispose d'yeux lasers... Par contre, Yuri est bien un homme japonais : il a oublié de lui inclure des neurones.
Michiru est l'archétype de la femme objet, et c'était bien le but recherché. Pour autant, elle pose un sérieux problème au héros, puisque sa jalousie maladive couplée à une force prodigieuse en font un obstacle à sa relation avec Hibi. Il faut parfois faire attention à ce que nous souhaitons.
Le concept de base permet d'obtenir une série amusante même si elle s'enfonce plus ou moins volontairement dans tous les clichés. Oui, je précise "plus ou moins volontairement", dans la mesure où le héros se retrouve au centre des intérêts de plusieurs personnages féminins qu'il n'a pourtant pas créés, ce qui est typique de ces séries.
Mais évidemment, tout cela ne vole pas bien haut. My Girlfriend is a Fiction n'est en rien une relecture méta des comédies romantiques pour public masculin, au contraire elle se vautre dans toutes leurs mauvaises habitudes. C'est sympathique, mais si cela avait duré plus de quatre volumes, je me serais vite arrêté.


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melvin
Mangaversien·ne


Inscrit le : 25 Jan 2004
Localisation : Paris

Message Posté le : 03/09/18 22:50    Sujet du message: Répondre en citant


J'ai emprunté à la bibliothèque et lu cet été les 15 premiers volumes de Barakamon.
Encore une série que j'avais pas mal hésité à faire principalement en raison de la comparaison flatteuse avec Yotsuba (qui est un énorme coup de coeur personnel). L'histoire raconte comment Seishû Handa un jeune calligraphe se retrouve envoyé par son père sur une petite île au fin fond de la campagne nippone en guise de punition suite à une réaction violente après une critique sur son travail. Le ton de la série est joyeux et déjanté avec de nombreux personnages tous plus étranges les uns que les autres. On a donc un manga tranche de vie avec un citadin qui se retrouve dans un village de campagne pour réfléchir et qui finalement va petit à petit se mettre à changer et apprécier sa nouvelle vie loin de l'ébullition de Tokyo. Handa est un personnage très attachant, un peu à la masse, il est obnubilé par la calligraphie et se laisse facilement manipuler par les autres. Il va se rapprocher des enfants et des ados du village en particulier de la jeune Naru qui ne va plus le quitter et va mettre ses nerfs à rude épreuve.
La série se lit facilement, une petite lecture sympa pour les vacances, mais j'avoue au final ne pas regretter de ne pas l'avoir acheté en neuf. Sur 15 volumes ça tire un peu en longueur et le principal reproche que j'aurais à faire concerne la galerie des personnages secondaires que je trouve un peu moins réussis que Handa et Naru par exemple... Ainsi il y a quelques persos qui finissent par se ressembler graphiquement ou qui manquent un poil de caractère. Reste l'ambiance "nature" de cette petite île japonaise fort agréable pour voyager un peu en lisant la série ! Sympa, mais pas une lecture marquante.
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"Music is an indirect force for change, because it provides an anchor against human tragedy. In this sense, it works towards a reconcilied world." Tim Armstrong
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Cyril
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Inscrit le : 04 Sept 2002
Localisation : Evry

Message Posté le : 04/09/18 06:24    Sujet du message: Répondre en citant



Ce recueil (plutôt court : 150 pages) est composé de courts chapitres adaptant des nouvelles de l'écrivain Sôseki (déjà rencontré dans Au temps de Botchan) et retraçant des rêves qu'aurait fait cet auteur. Certaines nouvelles m'ont laissé perplexe, comme celle du samouraï dont je n'ai pas bien compris le sens mais beaucoup sont touchantes - et souvent tragiques, comme la cinquième et la septième nuits ; l'humour absurde n'est pas non plus absent, comme lors de la dixième nuit. Les thèmes abordés sont également variés, certains étant liés à l'ère Meiji avec leur dose de modernité (une histoire se passe dans un paquebot), d'autres rappelant le Japon médiéval, avec la mère qui vient prier pour son mari, parti à la guerre. Le style graphique très simple de Yôko Kondô, avec des décors souvent minimalistes, est très efficace et met bien en valeur les personnages et les textes de Sôseki.
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Les chats, ils dépensent leur pognon au baby-foot, ils passent leur temps à fumer des pétards et à grimper au plafond. Les chats, c'est vraiment des branleurs. C'était un message du CCC, le Comité Contre les Chats.
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Therru
Mangaversien·ne


Inscrit le : 25 Avr 2007
Localisation : Liège

Message Posté le : 04/09/18 20:57    Sujet du message: Répondre en citant

Nirvana (Doki Doki, 3 tomes, en cours)



"Nirvana" est un shônen extrêmement basique dans son genre. Une jeune héroïne qui s'ignorait et qui réunit une bande d'alliés grâce à l'amitié et l'espoir, c'est quelque chose qu'on a déjà vu des millions de fois dans toutes sortes d'histoires. Le passé tragique du personnage principal, c'est revu aussi. Les alliés en devenir qui se révèlent d'abord des ennemis, rien de bien neuf à l'horizon. Ne parlons pas de cette histoire de "sauver le monde", objectif bien trop ambitieux généralement pour passionner entièrement avec une quête d'une telle envergure, surtout que la narration est survoltée et ne prend pas vraiment le temps d'asseoir son univers et ses personnages.

Et pourtant, pourtant...

"Nirvana" m'apparaît terriblement sympathique.

Force est de reconnaître, il y a une certaine chaleur qui se dégage de l'ensemble, ainsi qu'une vraie cohérence.
Les personnages sont vus et revus, pourtant on apprécie leurs interactions, la force de leurs sentiments, et surtout, il y a un côté touchant dans les liens qui les unissent et leur rapport à leur mission et leurs compagnons. L'histoire est ultra-classique, mais c'est pour mieux se concentrer sur l'exploration du monde et les règles qui le composent. Rien n'est inutile dans la narration, tout en efficacité et sans fioriture, et l'histoire avance très vite. Rien de très subtil, certes, mais la simplicité représente une force en soi, si utilisée à bon escient.

Le passé de Yachiyo, le personnage principal par exemple, est traité avec efficacité et sa petite touche d'émotion. Le côté lisse du personnage se brise peu à peu pour laisser place à une jeune fille meurtrie au plus profond de son être et au final assez lucide et cynique sur les raisons qui la poussent à aider les autres. Rien de très original dans le fond, mais il y sans aucun doute une sincérité et une vraie envie de partager quelque chose qui touche les deux auteurs à travers cette histoire, et dans le fond, c'est ce qui compte le plus dans un titre.

Une autre force de la série réside dans son graphisme et son découpage (plus que dans sa narration). Simple mais efficace et nerveux, et au découpage ultra-lisible malgré la tonne d'effets pyrotechniques des pouvoirs de la déesse Sakuya, le graphisme de la série est à la fois classique et personnel. Maîtrisé dans tous les cas, avec une vraie force dans le regard des personnages et dans leurs actions. Il y a aussi cette petite touche d'anticipation et de puissance divine quand Yachiyo déclenche le pouvoir d'un nouveau signe, et dont la force jaillit de toute part grâce à sa mise en scène et ses doubles pages.

Alors oui, "Nirvana" n'est clairement pas pour tout le monde. Non pas à cause d'un manque d'accessibilité, mais à cause d'une impression de redondance et une ambiance qui en laissera beaucoup de marbre. Quelque part, il est difficile de le conseiller ou de définir sa cible avec certitude, vu l'ampleur et la diversité de l'offre manga chez nous.
C'est tout à fait le titre que je comprendrais parfaitement qu'on trouve vraiment mauvais.

Néanmoins, je pense qu'il ravira ceux qui sont encore capables de se plonger sans cynisme dans la quintessence du shônen d'aventure, dans un titre dénué de tous les artifices qui alourdissent énormément nombre de série de la grande famille du "shônen de combat et/ou d'aventure", et qui jamais ne tente de se faire passer pour ce qu'il n'est pas, ou de trop copier ses aînés, ou de tente de devenir un blockbuster à tout prix en sacrifiant ce qui fait sa force et sa spécificité.

Une petite série B hyper classique mais qui dégage énormément de sympathie et qui pourrait prendre une grande place dans votre coeur, si vous êtes réceptif au style et son propos. Un titre assez rare dans le fond, à la force purement circonstanciel et qui dépend énormément du regard du lecteur. Un titre terriblement classique et atypique à la fois. Il n'y a pas de juste milieu, "Nirvana" vous touchera ou pas, c'est aussi simple que cela.
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EdenA
Mangaversien·ne


Inscrit le : 07 Nov 2007

Message Posté le : 10/09/18 15:57    Sujet du message: Répondre en citant

Hungry Marie 1 :Je m'étais bien marré dans les premiers tomes de Beelzebub avant de petit à petit me lasser, faute de renouvellement. J'ai quand même tenté la nouvelle série de l'auteur. Verdict : bof. Ca se lit, mais c'est nettement moins inspiré. La plupart des blagues ne font pas rire et l'auteur semble avoir du mal à voir ce qu'il va raconter. Je continuerai au cas où mais content que la série ne se soit pas étirée en longueur

Les héros de la galaxie 1 :J'aime vraiment bien Ryu Fujisaki (excepté son Stray Souls) donc je pensais apprécier. En fait, pas du tout. Tout est très caricatural alors que le ton essaie d'être sérieux. Ce décalage est vraiment perturbant, et là où cela marchait bien pour Hoshin ou ShiKi, ici cela tombe complètement à côté vu le premier degré. Les dessins collent difficilement à l'ambiance, accentuant l'aspect caricatural et l'histoire n'est pas franchement passionnant. Je lirai la suite mais ce premier tome m'a fait l'effet d'une douche froide, moi qui était plutôt enthousiaste.

Voyage au centre de la terre 1 : A contrario, agréablement surpris ! Je ne m'attendais à rien et j'ai vraiment bien aimé ce tome 1. C'est joliment dessiné, j'aime beaucoup le design de l'oncle notamment. L'histoire donne envie, habilement mise en scène de la sorte. Hâte de lire la suite, surtout qu'il n'y a que quatres tomes.
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Cyril
Mangaversien·ne


Inscrit le : 04 Sept 2002
Localisation : Evry

Message Posté le : 12/09/18 05:41    Sujet du message: Répondre en citant

EdenA a écrit:
Hungry Marie 1 :Je m'étais bien marré dans les premiers tomes de Beelzebub avant de petit à petit me lasser, faute de renouvellement. J'ai quand même tenté la nouvelle série de l'auteur. Verdict : bof. Ca se lit, mais c'est nettement moins inspiré. La plupart des blagues ne font pas rire et l'auteur semble avoir du mal à voir ce qu'il va raconter. Je continuerai au cas où mais content que la série ne se soit pas étirée en longueur


Après lecture du volume 2, j'aime bien mais il faut reconnaître que ça reste très foutraque, avec l'impression qu'on ne sait pas où le manga va aller et surtout que l'auteur ne le sait pas non plus. Dans la lignée de Beelzebub, toutefois, le manga reste amusant avec son côté racaille et ses personnages qui passent leur temps à se balancer des fions, 2 aspects que la traduction rend très bien (le jeu de l'amour et du bazar). Les nouveaux personnages loufoques, comme Lilisu, la reine du lycée, s'intègrent bien à ce foutoir et ont de bonnes interactions avec ceux déjà existants, comme Marie-Thérèse avec laquelle Lilisu entre rapidement en conflit.
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Taliesin
Modératrice


Inscrit le : 01 Fév 2004

Message Posté le : 13/09/18 12:40    Sujet du message: Orange Chocolat 1 (Nanpei Yamada) Répondre en citant



Orange Chocolat 1 de Nanpei Yamada

Depuis des années Orange Chocolat m'intrigue mais par manque de temps, manque de moyens (ou blocages de moyens), parce que j'ai trop de séries en cours, je n'ai pas trop pu m'y pencher. De plus, les avis sont très peu nombreux sur ce manga alors j'ai fini par un peu l'oublier. C'est une série que l'on voit très souvent dans les librairies de manga d'occasion, et à bas prix. Finalement, j'ai sauté le pas.

Il faut dire que les jolies couvertures m'intriguaient, avec... des kimono. Je dois faire partie des personnes qui disent ne pas aimer le Japon et qui pourtant s'intéresse la plupart du temps aux manga qui parlent de la culture traditionnelle japonaise Mort de rire Mort de rire (non sérieusement, je ne suis pas spécialement fan du Japon). C'est cet aspect de Orange Chocolat qui m'a intéressé, comme ce fut le cas pour Le chemin des fleurs. Orange Chocolat s'intéresse à la danse traditionnelle japonaise.

Ritsu (le garçon) et Chiro (la fille) sont amis d'enfance depuis tout petits. Ritsu est un prodige de la danse traditionnelle, beau garçon et habitant dans une très belle demeure (traditionnelle japonaise). Son père est sévère et l'entraîne afin qu'il hérite du titre de maître de danse traditionnelle, et ce, depuis tout petit. Chiro est une voisine de Ritsu, une fille de la classe moyenne, plutôt banale sans don particulier. Elle prend néanmoins des cours de danse traditionnelle avec le père de Ritsu, mais sans le talent. Ainsi, elle admire son ami d'enfance depuis toujours et a même souhaité être lui, surtout qu'il est "belle" lorsqu'il danse (car il est spécialisé dans les rôles féminins dans sa discipline). Elle en est aussi amoureuse, même s'il est très populaire (mais elle aussi, enjouée et toujours entourée d'ami-e-s). Alors que Chiro fréquente le collège et Ritsu le lycée, le fameux vÅ?u est exaucé: les deux changent de corps! Mais le changement n'est pas irréversible, il a lieu à chaque fois lors de situation qui ne les arrangent pas! Surtout que Ritsu enregistre parfois pour la télévision (au désaccord de son père).

Dans les points positifs, il y a le dessin de Nanpei Yamada qui s'est déjà fait connaître précédemment en France par Le Prince des thés (dont j'ai dû lire un seul épisode dans Magnolia mais là encore, les avis ne sont pas légion). Je le trouve absolument charmant, très joli, loin d'être fade en plus. Par contre, je ne continuerai pas le manga. Le scénario se base surtout sur les échanges de corps et la vie quotidienne des jeunes gens, avec surtout de la comédie. Je ne suis pas très fan de la comédie (sauf quand elle est assez lourde ^^; ), d'autant plus quand l'ambiance est trop romantique à mon goût. Quant à l'échange de corps, il s'agit d'un ressort avec lequel j'ai de plus en plus de mal (je ne continuerai même pas le si plébiscité par tout le monde Dans l'intimité de Marie). Pourtant, je trouve le tout plutôt sympa à suivre et bien mis en scène quoique parfois un poil mou. Le titre se destine surtout à des adolescentes et cela se ressent dans le ton. Ce n'est donc clairement pas le genre de lecture que je recherche, mais qui aurait peut-être pu marcher si j'étais bien plus jeune. Sur les volumes suivants, dans les chroniques de Manga-News, je vois que le côté lent et traînant en longueur s'accentue, ce qui me décourage. Sans parler d'une parution qui semble interrompue chez Tonkam sans qu'on en sache beaucoup plus (7 volumes depuis des années, alors que le tout en compte 13).
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shun
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Inscrit le : 01 Sept 2002
Localisation : charleroi la ville noir

Message Posté le : 16/09/18 23:41    Sujet du message: Répondre en citant

Goodnight, I Love You�1 : l'entrée dans le récit est difficile en partie à la narration éclatée et à une traduction trop djeun à mon sens ( daron ? J'ai vérifié sur le net ) mais c'est peut être comme ça en VO. Par la suite c'est sympa de suivre l'aventure que sa mère lui fait faire, mais le héros est l archétype du japonais innocent qui na jamais rien fait et n'ose même pas parlé en face, C'est lourd et ça ne le rend pas du tout attachant, malheureusement c'est pas le frère qui va sauver la mise car très mal exploité sauf sur son secret. Pas mauvais mais trop éclaté.
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Gemini_
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Inscrit le : 03 Fév 2011

Message Posté le : 20/09/18 10:17    Sujet du message: Répondre en citant

Contamination T1 : Dans une ville au pied du Mont Fuji, des patients commencent à présenter une forte fièvre et une détresse respiratoire aiguë. Non seulement la maladie sâ??avère mortelle, mais le phénomène sâ??étend rapidement. Lâ??hôpital doit bientôt faire appel à une véritable épidémie.
Série courte (trois tomes au total) publiée par Kana. Jâ??ai commencé ce manga avant tout parce que son sujet mâ??interpelle, sans mâ??attendre à une Å?uvre transcendante ou spécialement mémorable. Et effectivement, il sâ??agit dâ??un de ces titres anonymes du marché français, ceux qui passent et ne laisseront sans doute aucune trace.
Il fonctionne parfaitement sur lâ??instant. Jâ??y ai trouvé le sens du réalisme que je recherchais, ainsi quâ??une narration rythmée et des personnages assez stéréotypés mais pas désagréables à suivre ; seul le responsable du laboratoire dâ??épidémiologie se démarque de par son caractère vicié. Le style graphique me rappelle un peu Tetsuya Tsutsui, donc sans être impersonnel il se marie bien au type de récit.
Contamination est un titre parfaitement efficace sur lâ??instant, et dans le fond, je crois que câ??est tout ce que je lui demande. Donc à voir si les histoires de contamination et les séries sous tension vous intéressent.


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Taliesin
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Message Posté le : 24/09/18 13:50    Sujet du message: Geofront de Reibun Ike Répondre en citant



Geofront de Ike Reibun, one-shot chez Taifu

Ike Reibun est surtout connue pour ses BL. Ici, Taifu nous fait découvrir un travail prépublié dans le périodique shôjo Kurofune Zero.

L'histoire se déroule dans un monde souterrain où les personnes les plus en marge de la société ne peuvent vivre à la surface. On est introduit dans l'univers par un étudiant au coeur pur qui donne des cours à un petit garçon. Celui-ci est adorable et très intelligent, mais a subi une opération grave du cerveau. Il vit avec son père, un homme bien mystérieux qui travaille comme assassin pour la pègre. Le volume contient une histoire courte qui se déroule en Chine ancienne où un garde du corps de l'impératrice est accusé d'avoir tué sa maîtresse.

Ayant croisé ce volume à un prix dérisoire d'occasion, je me suis laissée tenter. Surtout que les dessins de Ike sont vraiment très très très beaux. Son trait ne laisse pas indifférent, il a beaucoup de caractère. Malheureusement, je ne peux en dire de même pour l'histoire qui m'a peu passionnée. Sans parler du pathos ambiant avec une émotion un poil trop présente par moments. Surtout, les personnages sont assez clichés, entre la nana super belle ayant du caractère qui n'a pas confiance en elle, ou encore l'étudiant naïf totalement amoureux. Le côté "mignon" ne cadre donc pas trop avec le reste de l'atmosphère. De plus, l'univers a l'air chouette mais le récit est beaucoup trop court pour le mettre en valeur. Pour moi, le tout est un peu bancal. L'histoire courte en Chine ancienne est graphiquement magnifique, mais là encore, la narration pêche un peu. Pour moi, une lecture vraiment en demi-teinte que Geofront, lecture que j'ai trouvée fade. un jour, je lirai peut-être son BL culte B no kyoujin.
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Cyril
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Message Posté le : 12/10/18 05:14    Sujet du message: Répondre en citant

Eden's zero (ou Fairy tail 64, hein, c'est la même chose) : bon, encore une fois, Mashima ne se foule pas en reprenant les mêmes personnages que dans son manga précédent, dont un qui ne change même pas de nom. Encore une fois, ça n'est pas désagréable à lire, il y a un moment touchant à la fin de la première partie avec les machines, l'idée de la transformation de Happy est sympathique et plutôt originale, la pirate de l'espace a un look bien badass, entre Erza (beaucoup) et Emeraldas mais c'est quand même totalement dénué d'originalité et de remise en cause.

Et à la fin, Mashima nous explique tranquillement que, quand il y aura des incohérences, tout s'expliquera grâce à l'éther.
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