Dernières lectures

[shun]

Emerging 1-2 intégral :

que dire si ce n'est que je suis déçu ? l'idée est très bonne, mais il se passe rien sur le premier tome, tout est traité a la légère et la critique de société semble bien fade après avoir lu "say hello to black jack", le tome 2 accélère le rythme mais tout se résous bien trop facilement avec un traitement superficiel, dommage je viens de voir que c'était l'auteur de inugami que j'avais bien aimé ... dans le même registre j'ai préféré manhole même si différent.

[shun]

Magical girl of the end 1-2 :

he ben c'est du pure délire jouissif ! moi qui adore justement le magical girl ça me fait d'autant plus d'effet de les voir comme ça ! sans compter qu'elles sont variés en forme, attaque, etc. bon point pour l'instant il y a un scénar ! étonné pour ce genre de récit, espérons qu'il tiennent la route sur la durée. d'autres personnes lisent ce titre ?

[Cyril]

J'ai lu le premier chapitre et feuilleté le volume : trop gore pour moi.
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Les chats, ils dépensent leur pognon au baby-foot, ils passent leur temps à fumer des pétards et à grimper au plafond. Les chats, c'est vraiment des branleurs. C'était un message du CCC, le Comité Contre les Chats.

[Aniki]

[shun]

Je viens de terminer la lecture de seton 1 de taniguchi et j'ai beaucoup aimé l'aspect animal, mais je trouve qu'on est trop centre sur l'homme. Je me demandais donc s'il y avais des documentaires animalier en manga?

[Manuka]

A part Gon ?
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Emmène Lucy Hole dans un ciel de diamants. ©

[yakutake83]

[Taliesin]

En manhwa, ce n'est pas un documentaire, mais plutôt une histoire avec des personnages animaux, il y a Tigres chez Clair de Lune.
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Lisez Descending Stories de Haruko Kumota, tout est dispo en 10 volumes en anglais

[shun]

[Aniki]

Excellent le troisième tome de la Tour Fantôme, Stéphane ne mentait pas :) J'avais trouvé le second un peu lourd, mais celui-ci efface l'ardoise : c'est rythmé, glaçant, poignant, inspiré et on apprend plein de trucs. Vu comment ça se termine, je sens que ça va devenir de plus en plus intéressant... Surtout que le titre est un peu seul dans sa catégorie, ça change du paysage habituel.

[shun]

Daisy - Lycéennes à Fukushima tome 1-2

he bien voilà une agréable surprise, récit poignant, actuel, court, éducatif voilà un beau mélange, on apprend pas mal de chose dont personnellement je n'avais même pas idées, le tout très bien écrits, juste un peu de lourdeur de temps en temps mais c'est vraiment pour trouver un défaut.
l'auteur arrive a doser chaque émotion sans exagération, que ce soit la tristesse, le désarroi, la joie du moment, l'amitié etc.
voilà clairement un titre akata, tout le monde devrait au moins le lire pour en apprendre plus tout en lisant une belle histoire.

[Taliesin]

Le topic dédié! Le topic dédié!

Je le vois très souvent en coup de cÅ?ur sur les sites manga ce shôjo.

Je ne suis pas très inspirée ces temps-ci mais je vais tenter de me remettre à poster un peu sur mes lectures. Ici, quelques manhua (à propos, j'ai trop envie de lire Entre ciel et terre de Golo Zhao chez Cambourakis ^^ en plus, c'est en noir et blanc!!!)

La voie ferrée au-dessus des nuages de Li Kunwu, Kana


Après Une vie chinoise et l'excellent Pieds bandés, Li Kunwu revient encore une fois chez Kana avec La voie ferrée au-dessus des nuages, récit qui ne m'inspirait clairement pas sur le papier. Grâce à un certain H, j'ai pu lire ce one-shot qui m'a finalement pas mal absorbée. Alors que le tout parle de la construction d'un chemin de fer, de ce que j'avais compris dans le texte de présentation qu'on voit sur les sites.

Finalement, c'est surtout la découverte, la passion de Li Kunwu pour le mystère du cimetière des étrangers qui est comptée. Et à travers ce lieu mystérieux dont personne ne sait rien, Li Kunwu va remonter à la construction d'une voie ferrée reliant le Vietnam et le Yunnan. Cette ligne montagneuse et escarpée a été construite sous la direction d'un ingénieur français, Marbotte. Son descendant a écrit un livre sur cette histoire, et c'est à travers ce livre écrit en français que Li Kunwu va "harceler" divers traductrices pour retracer le récit de cette difficile construction.

Au final, le récit ne raconte pas grand chose en soi, mais il y a cette palpitation de l'auteur toujours présente et qui emporte ses lecteurs et lectrices. Le dessin de Li Kunwu est toujours aussi intéressant et riche, surtout les paysages dans un style peinture chinoise du Yunnan avec ses reliefs et ses rizières en terrasse... Bref, avec surprise, cette histoire de train qui ne m'attirait pas au départ m'a beaucoup plu . Je me demande ce que donne Empreintes malgré la chronique d'Aniki sur Bodoï.


Xiao-Ou vol 1-2 (3 au total), Mai Zi, Kana


Cette fois, changement de genre, mais toujours dans le catalogue de Kana, avec Mai Zi et son Xiao-Ou. Là, récit en couleurs, tendance djeunz et psychologique.

Xiao-Ou est un jeune homme qui a la guigne. De plus, il n'est pas bien né: pauvre, son père est alcoolique et sa mère est un tyran. Son meilleur ami Zhen est tout le contraire, il est riche, a ce qu'il veut et les filles lui courent après. Mais le jour du suicide de son père, le destin de Xiao-Ou bascule...

J'ai l'impression de lire un manhua de la période Xiao Pan, c'est-à-dire la tendance rock avec des jeunes qui ont des mèches rebelles, à la façon Benjamin. L'atout de cette série, ce sont les couleurs de Mai Zi, je trouve sa palette vraiment bien. Le dessin est parfois joli, parfois maladroit, surtout dans les visages irréguliers (la fille du flic héroïque quoi >_< ). Mais l'histoire est... elle tient sur un timbre poste et à partir de là, Mai Zi allonge son histoire. Je ne sais pas quoi dire d'autre, ce n'est pas très passionnant, surtout les personnages, clichés au possible et incroyablement plats. C'est simple, on s'en fiche totalement de Xiao-Ou ou de Zhen. Xiao-Ou est de plus courageux au possible, allant jusqu'à travailler à l'usine, quant à Zhen, c'est un vrai fils à papa comme il faut, c'est tout blanc ou tout noir. Sans parler du personnage détestable de la mère... Et puis ce côté poseur quoi ^^; "moi et ma guitare", "moi et ma moto".

Au-delà de ça, on peut imaginer aussi que Mai Zi parle de l'importance du fric dans la société chinoise d'aujourd'hui, et que seul le fric peut vous faire obtenir de bonnes choses, et surtout un regard positif sur une personne. Au final, je ne sais pas si j'ai envie de lire le volume 3. Sinon, le père de Zhen avec sa moustache m'évoque physiquement le commissaire Gordon

La belle du temple hanté de Nie Chongrui, chez Kotoji. One-shot.


Titre sorti en catimini à l'époque chez Xiao Pan, il a été réédité chez Kotoji plus tard. Cette réédition étant elle aussi sortie un peu en catimini, malgré le succès du Juge Bao chez Fei.

Là, on a une histoire très classique qu'on connaît pour peu qu'on ait aimé par le passé les films hongkongais (Histoires de fantômes chinois pour en prendre un au hasard) ou les récits de yaoguai (yôkai) de Pu Songling. Un étudiant en chemin pour le concours mandarinal finit par s'abriter dans un temple pour la nuit. Là, il rencontre de mauvais esprits, mais aussi une très belle jeune fille. A côté, on a un mentor courageux, et puis d'autres plus lâches.

Ce récit est plutôt prévisible et je suppose qu'il est surtout sorti pour les dessins de Nie Chongrui, et sûrement pour son succès chez Fei. Car je ne vois pas vraiment l'intérêt de ressortir ce one-shot. Le dessin de Nie Chongrui fait très gravure, avec son côté statique, mais le tout est moins réussi, je trouve, que sur le Juge Bao. Les personnages ont en plus des expressions comiques, faisant donc très "BD" mais je trouve que ça ne sied pas vraiment. J'ai un peu lu ce récit sans grand intérêt non plus.

Je précise que non, je ne suis pas blasée. Je suis en ce moment Hi Izuru Tokoro No Tenshi et d'autres manga (des Moto Hagio) m'ont tenu en haleine bien avant ces lectures-là.
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Lisez Descending Stories de Haruko Kumota, tout est dispo en 10 volumes en anglais

[herbv]

Je n'ai pas eu la même impression qu'Aniki à la lecture d'Empreintes. Je comprends son point de vue mais je pense qu'il faut prendre les propos de l'auteur avec un certain recul.

Oui, le Chinois de Chine continentale peut se retrouver dans la description qu'il fait. Mais il faut la voir plutôt comme un but plus ou moins à atteindre, une attitude théorique. J'ai trouvé d'ailleurs que Li Kunwu n'est vraiment pas tendre avec ses compatriotes, notamment en montrant longuement leur manque de réflexion à propos de la catastrophe de Fukushima.

Pour ma part, il n'y a que la partie sur les arts martiaux que j'ai trouvé traitée bizarrement, qui fait vraiment propagande sans réflexion. Manque de chance, on commence la lecture par cette partie, ce qui peut créer un rejet chez le lecteur occidental.

Et puis ce dessin... magistral ! Quel plaisir à retrouver ce trait si personnel

Vivement que Li Kunwu revienne en France, que j'échange à nouveau quelques mots (via son interprète, vu ma totale ignorance du mandarin).
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Simple fan (auto-proclamé) de Rumiko Takahashi
Chroniqueur à du9
Ténia de Bulledair

[Taliesin]

Mais il reviendra herbv . Je suis vraiment curieuse sur Empreintes, le sujet de la société chinoise quoi

J'avais oublié une lecture très enthousiasmante, et qui m'a été mise entre les mains sans que ça ne m'attire (ça ne me donnait clairement pas envie...)

La petite amie de Minami de Shungiku Uchida, chez IMHO. One-shot.


Une bonne surprise que ce one-shot. Ce manga se penche sur un couple de lycéens pas comme les autres. Minami est un adolescent plutôt banal (ni moche ni beau) sauf qu'il est en couple avec Chiyomi qui a rétréci (et tient dans sa main). On ne saura jamais pourquoi Chiyomi a rétréci, mais c'est ainsi. Chiyomi, plutôt que de retourner chez ses parents, a préféré vivre dans la chambre de Minami. Il s'agit d'une tranche de vie sans relief (pas romancée quoi), où Minami se pose plein de questions face à l'avenir du couple, la "guérison" de Chiyomi, ou encore la frustration sexuelle. Tout au long du one-shot, on voit comment Minami fait en sorte de subvenir aux besoins d'une Chiyomi devenue toute petite. L'histoire a été prépubliée chez Garo et la sortie du one-shot semble être passée inaperçue (ou je me trompe).

Le one-shot est très austère, que ce soit niveau narration ou dessins (Garo??? ). Le graphisme fait vieillot, il est plutôt rond et simple. C'est clair et sans fioriture, et même si les dessins ne donnent pas envie, on est facilement porté par ce petit récit qui ne raconte au final pas grand chose. Le tout est doté de moments très attendrissants (à mon goût), sans que l'auteure ne fasse d'emphase à un moment ou à un autre pour dire "hep, là faut ressentir quelque chose". La fin m'a surprise. Vraiment à tenter .
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Lisez Descending Stories de Haruko Kumota, tout est dispo en 10 volumes en anglais

[shun]

Shaman king tome 1 a 32 :

souvenir ! il date quand même ce dernier, je l'avais arrêté dans la vingtaine a l'époque, le moment qui m'avait marqué c'était le premier combat contre faust ! forcément a la relecture ce moment était moins marquant, par contre j'ai trouvé l'oeuvre très réussie sur son 2/3, psychologie, ennemis et héros différents, perso secondaire développé, cliffhanger, écologie etc, la lecture était vraiment bien prenante ( le faites de tout lire d'affilée ? ), sauf bien entendu 2-3 power up abusé et sorti de nulle part.

la ou ça perd en intérêt c'est vers la moitié du shaman king quand Yoh abandonne pour sauver Ren, la lecture devient plus fouilli, entre les équipes qui se battent sur ring et en dehors, les combats sont répétitif contre les sbirs de Hao, l'auteur se perd aussi en d'énorme explication du pourquoi et du comment sans faire avancer l'histoire, dommage car câ??était un peu au début de la série. je pense que l'auteur aurait du jouer la carte de yuyu hakusho et carrément passer a l'après tournoi shaman king et lancé un nouvel arc contre Hao. les power up des attaques deviennent décevante, le pire étant faust qui perd totalement en charisme, la vérité sur les x-laws est ridicul, etc vers la fin le récit reprend des couleurs avec les "maisons" ( inspiration saint seiya ) des paches malheureusement trop expéditif et sans fond, pour la fin là je suis choqué, je me souviens que l'auteur avait du terminé l'histoire en quelque chapitres, mais bon il a simplement continué son histoire et pouf plus rien ... et c'est pas les épilogues qui change la donne, là dessus Togari avait réussi son pari en donnant une vision de la fin avec densité, informations et solution de "fin".

il reste a espérer une édition de la fin par kana, il y a quand même près de 7 chapitres inédit dans l'édition deluxe si je me trompe pas.