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[TOKYO TOYBOX] & [GIGA TOKYO TOYBOX]
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shun
Mangaversien·ne


Inscrit le : 01 Sept 2002
Localisation : charleroi la ville noir

Message Posté le : 16/09/08 23:17    Sujet du message: [TOKYO TOYBOX] & [GIGA TOKYO TOYBOX] Répondre en citant



Le Studio G3, un tout petit développeur de jeux vidéo dâ??Akihabara, à Tokyo. Son chef, Tenkawa Taiyô, un homme prêt à tout pour créer des jeux excitants.
Tsukiyama Hoshino, une jeune employée dynamique et à nâ??en pas douter très compétente dâ??une grosse société dâ??Ã?temachi, à Tokyo.
Ces deux personnages se rencontrent un beau jour dans des conditions embarrassantes. Par-dessus le marché, Tsukiyama est envoyée au Studio G3 pour redresser la barre de lâ??entreprise !
Alors que la gestionnaire cherche à faire des jeux qui se vendent, Taiyô poursuit son idéal de jeu parfait. Mais une grosse société de jeux vidéo complote dans lâ??ombre...
Bienvenue dans lâ??univers des créateurs de jeux vidéo !


Voilà une bonne petite série, très fraiche, sans exagération.
Le monde du jeu nâ??est quâ??un prétexte, je vois plutôt cette Å?uvre comme une série tv américaine, avec les hauts et les bas entre collègues au travail.

Le monde du jeux reste malgré tout très présent, on remarque la pression faites par le marketing sur le scénario, une bonne idée de départ peu devenir un jeu fade, un peu comme dans tout, il faut savoir trouver le mix des 2 et câ??est le boulot de tsukiyama

Doki doki serait sur la pente remontante de mon estime ? car après avoir très bien commencé ( cortège, otogi etc ) on peut pas dire que les bons titres ont filé depuis, on a eu de nombreuses séries b voir z pour enfin voir revenir de petites séries sympathique comme cette dernière et sun ken rock.
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egil
Mangaversien·ne


Inscrit le : 23 Avr 2004
Localisation : sur site

Message Posté le : 16/09/08 23:48    Sujet du message: Répondre en citant

Perso, on avait eu un gros coup de coeur pour ce titre. Mais on a été moins rapide Sourire

Donc bravo Doki Doki, c'est un super titre !
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Hugues
Mangaversien·ne


Inscrit le : 24 Juil 2007
Localisation : Dijon

Message Posté le : 02/12/08 11:05    Sujet du message: Répondre en citant

Excellent titre en effet. J'avais un peu peur avec cette arrivée massive de manga pour otaku ou tout du moins très référencés, je suivais déjà Keroro et Genshiken. Akihabra@deep m'avait par contre bien refroidi (je n'y ai rien compris). Et là on entre dans un studio de développement de jeux vidéo.
Toute la partie sur la localisation de leur jeu "samourai kitchen" est géniale, très caustique et je remets en question pas mal de mes (non) connaissances de ce milieu. Autre point positif, les personnages ont une petite biographie, assez détaillée, qui les rend très humains et crédibles.Le fond de l'intrigue est certes déjà-vu, avec le développeur et sa relation passée dans la grande boîte mais ça passe. Et puis la série ne fait que deux volumes, même si elle se poursuivra. J'en profiterai pour commencer "je travaille dans l'animation", les deux titres doivent être complémentaires.
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Hugues
Mangaversien·ne


Inscrit le : 24 Juil 2007
Localisation : Dijon

Message Posté le : 08/12/08 19:59    Sujet du message: Répondre en citant

Le deuxième volume est moins intéressant que le premier car plus conventionnel. La scène de duel au jeu de baston entre les deux anciens associés dont le résultat décidera de l'avenir du jeu sent même un peu la facilité.
Cette série reste quand même très chaleureuse, avec des personnages vivants même si en deux volumes, ils n'ont guère été développés. Les scènes comiques, comme la découverte du bogue majeur par la working girl Mort de rire est hilarante car tous ceux qui ont joué aux jeux vidéo se rappellent forcément de certains bogues les ayant pénalisés. Tout ça à cause des délais, un peu comme avec les manga et ces auteurs voyant arriver la limite Mort de rire . Ces manga "mise en abîme" ont un intérêt pour moi outre leur qualité humoristique, car ils dévoilent un peu des mondes qui me passionnent. C'est pour ça que j'attends beaucoup de bakuman, je ne suis pas la publication informatique et l'arrivée de la version "classique" me réjouit (quoique pour la VF, il faudra être encore patient Moqueur ).
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herbv
Modérateur


Inscrit le : 28 Août 2002
Localisation : Yvelines

Message Posté le : 31/05/09 16:53    Sujet du message: Réaction Répondre en citant



Grosse remontée de sujet. Cela faisait longtemps que je voulais parler de Tokyo Toybox et de sa suite.

Effectivement, le duel entre Taiyô et Sensui sur la version internationale sent un peu la facilité scénaristique et sonne un peu artificiellement mais il est plutôt bien géré par UME.

Ce second tome conclue de façon très satisfaisante l'histoire du développement de la version internationale de Samurai Kitchen. Tsukiyama a une présence moindre comparée à celle de Taiyô tout au long des dix nouveaux chapitres proposés. De personnage principal du premier volume, elle passe donc un peu en retrait, vraisemblablement parce que le projet est dans une phase où elle n'a plus un grand rôle à jouer. Mais UME ne l'oublie pas pour autant pour notre plus grand plaisir.

Outre ses personnages hauts en couleurs, l'autre point fort de cette courte série est son réalisme. La description du travail d'un studio de développement de jeux vidéo, les exigences qui y sont liées sont vraiment bien rendues par le duo d'auteurs, aussi bien sur le plan du scénario que du graphisme. Les lieux sont bien rendus, aussi bien sur le plan de l'exiguïté que du désordre. Le côté vaguement asocial des employés et la façon de s'habiller des développeurs ou des graphistes sonnent juste. Rien n'est fait pour magnifier le métier et c'est tout à l'honneur d'UME d'arriver à nous passionner pour la vie d'une petite boite banale. Il faut dire que la narration est tout à fait réussie avec un graphisme simple mais précis et une mise en case claire privilégiant la lisibilité aux effets visuels. Une très grande réussite, incontestablement.



Giga Tokyo Toybox est la suite de la série réalisée après un changement d'éditeur et de support. Paru initialement dans l'hebdomadaire Morning des éditions Kodansha, le manga Tokyo Toybox est publié entre 2005 et 2006, les deux volumes reliés correspondants sortant en mars et juin 2006. C'est donc dans le mensuel Comic Birz de l'éditeur Gentôsha que l'on peut lire la suite des "aventures" de Tsukiyama et de Taiyô, et ce, à partir de 2007. Trois volumes sont sortis pour l'instant au Japon (les deux de Tokyo Toybox ont été réédités en 2007 par Gentôsha) et nous avons la possibilité de lire les deux premiers en français grâce à Doki-Doki. Malheureusement, on en déduit qu'il ne va pas falloir être pressé pour lire la suite.

Le premier tome met en scène Momoda Momo, une jeune fille qui a rêve, devenir game designer. Malheureusement, il est difficile dâ??entrer dans le petit monde du jeu vidéo quand on est une débutante. Avec lâ??arrivée des consoles de la nouvelle génération et les investissements qui en découlent, les éditeurs veulent un personnel immédiatement opérationnel et nâ??ont plus le temps de le former. Heureusement, il existe encore quelques petites boites comme G3 qui nâ??hésitent pas trop à donner leur chance aux novices. Cependant, être apprentie nâ??est pas une sinécure comme va rapidement lâ??apprendre Momo, surtout lorsque son supérieur direct nâ??hésite pas à être franc et dire ce quâ??il pense.

Tout en étant la suite de Tokyo Toybox, Giga Tokyo Toybox ne nécessite pas d'avoir lu les deux tomes de la série précédente étant donné que lâ??on suit ici un nouveau personnage. Les points forts restent les mêmes, pour notre plus grand plaisir. Avec le deuxième volume, lâ??histoire se recentre sur les deux personnages principaux : Tsukiyama et Taiyô. Les enjeux dâ??un développement sur les consoles dites de la nouvelle génération sont abordés clairement, notamment à propos des contraintes budgétaires que cela implique. Une certaine réalité de la culture otaku japonaise nâ??est pas oubliée non plus avec la dérive vers le moé qui ne touche pas que lâ??animation et le manga mais aussi le jeu vidéo. Ainsi, UME déplore par le biais d'un de ses deux personnages principaux, Taiyô, que l'impact visuel prenne le pas sur l'importance du scénario. On ne peut que adhérer à une telle vision du jeu. Malheureusement, les réalités économiques et les effets de mode sont souvent très cruels. Il en résulte une lecture une fois de plus passionnante et après qu'on ait refermé la dernière page, on ne peut pas s'empêcher d'espérer voir la suite arriver rapidement. Giga Tokyo Toybox a reçu un coup de cÅ?ur MangaVoraces en mars 2009 pour son premier tome.


(cliquer sur la miniature pour afficher l'image en plus grand)

Un petit mot sur UME. Il s'agit du pseudonyme d'un couple dâ??auteurs mariés ensemble. UME est composé de Takahiro OZAWA et dâ??Asako SEO. Le premier est le scénariste de la série alors que la seconde en est la dessinatrice. Leur première série professionnelle est Chabudai Kenta (2002-2004) qui totalise 6 volumes parus chez Kodansha. Elle a été prépubliée dans le Morning. Le titre a été réédité en 4 volumes par Gentôsha en 2008. Ils ont ensuité réalisé Tokyo Toybox puis Giga Tokyo Toybox. Parmi leurs travaux les plus importants, on peut remarquer Kinyû sentai finance, une sortie de programme d'information institutionnel dessiné, animé et doublé (2006-2008, 12 chapitres/épisodes disponibles sur le webzine Biglobe Money). UME vient de commencer une nouvelle série réalisée sous la forme de yonkoma : Shirataki (débutée en 2009 dans Manga 4-Koma KINGS Palette Lite dâ??Ichijinsha).
_________________
Simple fan (auto-proclamé) de Rumiko Takahashi
Chroniqueur à du9
Ténia de Bulledair
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Hugues
Mangaversien·ne


Inscrit le : 24 Juil 2007
Localisation : Dijon

Message Posté le : 07/10/09 19:36    Sujet du message: Répondre en citant

La série continue sur ses qualités d'originalité et reste un vrai plaisir à lire d'autant qu'elle est assez contemporaine. On y parle de consoles "next gen", de moteur de jeu. Bef, du pain béni pour les gamers, et pour les autres également car la chaleur et l'humanité des personnages est réellement forte (à l'exception de ceux bossant chez solidus). D'ailleurs, le personnage du responsable Assurance-Qualité me fait penser à l'inspecteur Runge de Monster.
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church
Mangaversien·ne


Inscrit le : 08 Avr 2008
Localisation : South west of France

Message Posté le : 22/02/10 18:56    Sujet du message: Répondre en citant

Très séduit par cette série !

Les auteurs ont réussi à croiser de façon assez homogène plusieurs axes narratifs assez intéressant :

- l'envers du décor des studios de création de jeux vidéos, en insistant sur l'aspect financier, marketing, etc. ;
- l'évolution des rapports humains avec ces deux anciens amis que le destin et l'univers professionnel ont séparés, avec une dramatisation et une exagération évidentes sur le "secret" qui persiste autour de cette relation ;
- un côté "tranche de vie" sympathique avec la vie quotidienne au sein du studio G3, avec des profils de personnages assez développés et attachants ;
- un peu de romance ;
- plus le mystère entourant donc le passé de Taiyô, au sein de son ancienne société, Solidus...

Après Genshiken que j'avais adoré, cette série m'a vraiment conquis dans ce registre.

Pour rester dans l'univers otakesque / gamers, j'avoue être plus sensible à TT / GTT qu'à Bienvenue dans la NHK pour l'instant (dont je n'ai lu que 4 vol.), ce dernier titre étant vraiment marqué par un discours très dur et la narration n'étant pas toujours très très limpide...

Enfin, le personnage de Momoda (la jeune stagiaire du studio G3) pourra éventuellement suivre une trajectoire "à la Oguié" de Genshiken, devenant la star des lecteurs... Elle est en tout cas en couv du tome 3 + de ce numéro du Birz :



Sourire
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Meier Link
Mangaversien·ne


Inscrit le : 21 Sept 2005

Message Posté le : 18/06/12 13:52    Sujet du message: Répondre en citant

Allez, je remonte un peu le sujet pour parler du tome 7 et de la stagnation que subit la série depuis maintenant deux ou trois tomes... Depuis l'annonce sur le projet SOUP et que l'histoire est entrée dans quelque-chose de plus "épique", je trouve qu'on a perdu beaucoup du charme des débuts. Je préférais clairement quand on se contentait de suivre la vie d'un petit studio, ici on passe à un autre niveau avec magouilles entre les éditeurs, la censure et tout le toutim. C'est parfois intéressant dans ses réflexions sur la responsabilité des jeux-vidéos, mais sinon on fait quand même du sur-place depuis un moment. Le jeu que crée l'équipe n'avance pas d'un iota, la situation s'enlise depuis des lustres, ça ne bouge pas des masses. Je n'ai pas vu de réelle différence entre ce tome et le sixième, par exemple, rien n'a changé. C'est tout de même frustrant, surtout pour un manga à parution lente... Alors il y a une fausse surprise à la fin du tome (fausse car très prévisible), ça va peut-être faire bouger un peu les choses mais en l'état, je suis assez déçu...
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Aniki
Mangaversien·ne


Inscrit le : 23 Nov 2003

Message Posté le : 21/06/12 13:39    Sujet du message: Répondre en citant

Alors, c'est vrai qu'on pourrait croire que ça stagne, que l'histoire n'avance pas, mais en réalité ça permet d'approfondir les personnages (principalement Yoda) et c'est très en phase avec la réalité d'un tel développement de jeu. Je trouve ce rythme pertinent :)
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Meier Link
Mangaversien·ne


Inscrit le : 21 Sept 2005

Message Posté le : 21/06/12 13:53    Sujet du message: Répondre en citant

Oh pertinent je ne doute pas que ça l'est (je ne peux qu'imaginer puisque je ne m'intéresse pas vraiment aux développement des jeux), mais disons que l'ambiance des débuts me manque un peu. Je continue d'apprécier, de me demander ce qui va suivre, mais quand j'ai le tome entre les mains ça me passionne moins...
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Curly
Mangaversien·ne


Inscrit le : 02 Mars 2010
Localisation : Eure

Message Posté le : 21/06/12 22:21    Sujet du message: Répondre en citant

Le ton est en effet plus dramatique et (donc) moins léger qu'au début. Le regard assez pessimiste sur l'industrie japonaise du jeu vidéo face à la mondialisation est pertinent.
Mais c'est vrai qu'il ne faudrait pas trop que les auteurs s'étendent, sous peine de diluer l'intérêt de cet ovni !
Allez Taiyô, torche Des Hi et fais nous Sword IX ! Très content
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Aniki
Mangaversien·ne


Inscrit le : 23 Nov 2003

Message Posté le : 19/10/12 20:38    Sujet du message: Répondre en citant

Pas mal le tome 8, ça n'avance pas des masses mais je suis toujours très étonné par le côté très en phase avec la réalité du jeu vidéo actuel, c'est vraiment super juste. Après, le coup de la grosse société jap qui arrête totalement les jeux sur console pour se dédier au social gaming, c'est un peu exagéré (surtout que certaines sociétés 100% axées sur le modèle social gaming crèvent actuellement la bouche ouverte) mais pas non plus à côté de la plaque.

Au passage, j'ai noté quelques détails chelous dans la traduction, ou plutôt des petites approximations de jargon (francophone) : personne ne dit "téléchargement à la demande", ou "jeu vidéo grand public" pour parler des productions pour console, par exemple.

Sinon, le coup du méchant allemand et sa "chambre à gaz", il fallait oser.
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EdenA
Mangaversien·ne


Inscrit le : 07 Nov 2007

Message Posté le : 19/10/12 22:48    Sujet du message: Répondre en citant

Aniki a écrit:
Sinon, le coup du méchant allemand et sa "chambre à gaz", il fallait oser.


Faut pas spoiler, vilain ! Triste Pas encore lu le tome 8 mais le 7 faisait pas mal du sur-place quand même...
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Aniki
Mangaversien·ne


Inscrit le : 23 Nov 2003

Message Posté le : 20/10/12 01:21    Sujet du message: Répondre en citant

C'est un détail, rien de super important. Je n'en aurais pas parlé ouvertement, sinon Clin d'oeil
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church
Mangaversien·ne


Inscrit le : 08 Avr 2008
Localisation : South west of France

Message Posté le : 05/03/13 12:22    Sujet du message: Répondre en citant

Aniki a écrit:
le coup de la grosse société jap qui arrête totalement les jeux sur console pour se dédier au social gaming, c'est un peu exagéré

Ah oui, mais comme ce sont les "méchants" qui proposent cette solution, ça ne peut que renforcer leur côté antipathique ! Sourire

Aniki a écrit:
Au passage, j'ai noté quelques détails chelous dans la traduction, ou plutôt des petites approximations de jargon (francophone)

Alors là tout à fait d'accord avec toi sur les problèmes de traduction, ou plutôt d'adaptation en français (je traduis pas le japonais...). A plusieurs reprises dans le tome 8, je me suis dis que le traducteur avait choisi le mauvais synonyme pour traduire un terme précis. Sans compter que le texte semble lourd...

Sinon, j'ai vraiment bien aimé l'ambiance de cette série au début, et c'est pourquoi je la continue aujourd'hui. Mais je constate quand même que le dessin - qui était déjà bof bof - ne s'est pas arrangé. Voire dégradé. Heureusement que les couvertures sont là pour faire illusion. Confus
Pour l'histoire, on est passé à autre chose, ça part un peu dans le drame absolu avec un ptit côté enquête à la Monster, mais bon, on va pas lacher aussi facilement Sourire
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