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Kamakura Diary, un quotidien pas (toujours) facile à porter
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taikun
Mangaversien·ne


Inscrit le : 23 Fév 2003
Localisation : entre les monts kun lun et la porte des enfers

Message Posté le : 08/05/13 10:13    Sujet du message: Kamakura Diary, un quotidien pas (toujours) facile à porter Répondre en citant



Résumé: Quand Yoshino, la deuxième fille d'une famille de trois soeurs, reçoit l'annonce de la mort de son père, elle est en train de se réveiller dans la chambre d'un garçon... Le décès de ce père, qu'elle n'a plus vu depuis longtemps, à la suite du divorce de ses parents, ne l'émeut pas beaucoup... Pourtant, cette nouvelle pourraient bien changer leur vie ! Akimi Yoshida excelle dans la description, tout en finesse, de l'importance du lien familial !

Avis: Kamakura Diary est un titre qui a reçu de nombreux prix et nominations au Japon. Personnellement, je ne le connaissais pas avant que Taliesin en parle au moment de l'annonce de l'acquisition de la licence en France. Concernant l'histoire on est dans quelque chose d'assez dur, d'assez amer mais dont la seule issue est finalement l'optimisme. Drame familiaux, famille recomposée, enfance gachée, alcoolémie. Tout n'est vraiment pas drôle dans la vie de nos protagonistes. Ce qui fait la force de ces malheurs, ce sont justement la manière subtile dont ils sont combattus par un courage et un optimisme obligatoire, sous peine de se laisser aller et de parfois avoir envie de se donner la mort. La grande qualité de Kamakura Diary est son écriture, tout ces évènements déjà nombreux pour un premier volume, sont très bien amenés avec subtilité et réalisme. Les comportements des personnages sont terriblement humains et renforcent donc la crédibilité de l'histoire. Personnellement, au départ, j'ai eu assez peur car le titre fourmille de dialogues tout au long du volume et j'avais peur de trouver la lecture interminable mais au final, une fois les deux pieds dans l'histoire, il est dur d'en ressortir.
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Le (Re)retour de Ryu Fujisaki, auteur de Hoshin et Shi Ki , Stray Souls chez Pika Edition en 8 tomes Très content

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Taliesin
Modératrice


Inscrit le : 01 Fév 2004

Message Posté le : 12/05/13 23:53    Sujet du message: Répondre en citant

Une âme généreuse (encore!) m'a prêté le volume 1 en français. Je n'ai pu m'empêcher de le lire, et la lecture fut particulièrement plaisante car la traduction est excellente, donnant des dialogues très fluides Sourire . Je suis donc aux anges.

Le deuil est abordé de manière incroyable, triste mais sans pathos. Il y a aussi la question de la famille, du lien familial et surtout de la désaffection des parents, d'une enfance volée en l'occurence. Pourtant, le tout est positif, jamais déprimant, et même plein d'entrain. Le moment où on voit Suzu craquer, avec ses soeurs, a un réel impact, et l'émotion, qui s'était montrée si sobre pendant tout le chapitre, arrive à éclater. Akimi Yoshida est décidément talentueuse, et sait appuyer là où ça fait mal, et tout ceci l'air de rien, de manière si fluide. Le trio de soeurs est très drôle, surtout leurs disputes, ou les commentaires sur les mecs des unes et des autres Sourire. Autre chose difficile dans la vie, c'est la maladie et ses conséquences. Et là encore, lorsque je l'ai lu la première fois, je m'attendais plus à un décès qu'autre chose, et je me disais "encore! Suzu, c'est Détective Conan!", mais finalement, non. C'est dans un sens plus difficile à porter. Mais dans Kamakura Diary, il n'y a pas d'appitoiement, et c'est en cela que c'est si bien écrit.

Je ne sais pas parler de manga type tranche de vie. Mais ceux qui n'ont pas encore lu ce merveilleux manga doivent absolument se pencher dessus. Akimi Yoshida est une grande fan de football, et j'ai trouvé super chouette qu'elle fasse de Suzu une footballeuse dans une équipe mixte Sourire . Enfin, Kamakura est une ville où Akimi Yoshida dit avoir passé les meilleures années de sa vie. Elle a écrit, en 1996, après la fin de Banana Fish, un très court manga se déroulant à Kamakura, intitulé Lovers' Kiss. Elle espérait pouvoir revenir un jour sur cette ville, et c'est chose fait dix ans plus tard. Les deux oeuvres partagent des personnages en commun: la famille Ozaki, la famille Ogata, Tomoaki Fujii, ou encore une senpai infirmière de Sachi.
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melvin
Mangaversien·ne


Inscrit le : 25 Jan 2004
Localisation : Paris

Message Posté le : 30/05/13 23:26    Sujet du message: Répondre en citant

Bon je passe donner mon avis sur cette série que j'attendais avec impatience de pouvoir découvrir en france !
Tout d'abord j'adore les couvertures qui m'ont toujours donné envie d'en savoir plus.
Je n'ai lu que quelques volumes de Banana Fish sans en garder de souvenir particulier mais cette série me semble bien différente dans le thème et l'ambiance ce qui montre un certain talent pour son auteure.
J'aime bien en général les séries qui traitent du quotidien avec brio où on suit les petits riens qui arrivent aux différents protagonistes avec un rythme tranquille. Ce premier volume installe doucement le décor avec 3 sÅ?urs très différentes et une cérémonie funèbre qui vient leur rappeler le passé.
Les dialogues sont bien faits, le tons oscille entre l'humour et les instants graves, le graphisme un peu maladroit a son charme et on parcourt avec plaisir les quelques chapitres de ce volume.
Je ne suis pas encore hyper enthousiaste mais j'ai déjà un attachement certain avec la série. Un shôjô (ou josei ?) dont le ton est un peu plus original que la normale, ce qui est un très bon point !
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Taliesin
Modératrice


Inscrit le : 01 Fév 2004

Message Posté le : 31/05/13 10:59    Sujet du message: Répondre en citant

Normalement, ce serait josei vu que revue Flowers. Mais bon, la frontière est clairement ténue entre les deux... J'adore le graphisme très sobre pour ma part Sourire mais il est beaucoup moins austère que jadis.
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herbv
Modérateur


Inscrit le : 28 Août 2002
Localisation : Yvelines

Message Posté le : 31/05/13 17:49    Sujet du message: Réaction Répondre en citant

Disons que ça commence comme du josei et que ça continue comme du shôjo Sourire

J'ai relu dernièrement l'article de SHK dans le Manga 10 000 images 3 sur les frontières floues de ces deux genres, et je dois avouer qu'il commence à réussir à me convaincre. Et on a là une belle démonstration de son analyse Sourire
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Simple fan (auto-proclamé) de Rumiko Takahashi
Chroniqueur à du9
Ténia de Bulledair
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Taliesin
Modératrice


Inscrit le : 01 Fév 2004

Message Posté le : 31/05/13 17:55    Sujet du message: Répondre en citant

Il y aura toujours les histoires avec les soeurs Clin d'oeil même si Suzu est l'héroïne de cette série.
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sushikouli
Mangaversien·ne


Inscrit le : 29 Oct 2003

Message Posté le : 01/06/13 23:10    Sujet du message: Re: Réaction Répondre en citant

herbv a écrit:
J'ai relu dernièrement l'article de SHK dans le Manga 10 000 images 3 sur les frontières floues de ces deux genres, et je dois avouer qu'il commence à réussir à me convaincre. Et on a là une belle démonstration de son analyse Sourire

Mieux vaut tard que jamais ^^'
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Entre ce que je pense, je veux dire, je crois dire, je dis, ce que vous voulez entendre, ce que vous entendez, ce que vous croyez en comprendre, ce que vous voulez comprendre, et ce que vous comprenez, il y a au moins 9 raisons de ne pas se comprendre.
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Cyril
Mangaversien·ne


Inscrit le : 04 Sept 2002
Localisation : Evry

Message Posté le : 06/06/13 20:29    Sujet du message: Répondre en citant

Je n'avais pas lu Banana Fish trop glauque, trop... jaune Mort de rire ) mais j'ai beaucoup aimé ce tome de Kamakura Diary, mélangeant habilement des passages durs (la fin peut-être plus encore que le début) et émouvants, des tranches de vie sympathiques et de l'humour qui fait mouche, notamment avec la gaffeuse Yoshino (qui me rappelle Hotaru ou Sumiré) et de jolis dessins. Je suis curieux de découvrir les prochains volumes.
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Les chats, ils dépensent leur pognon au baby-foot, ils passent leur temps à fumer des pétards et à grimper au plafond. Les chats, c'est vraiment des branleurs. C'était un message du CCC, le Comité Contre les Chats.
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Cyril
Mangaversien·ne


Inscrit le : 04 Sept 2002
Localisation : Evry

Message Posté le : 07/07/13 20:19    Sujet du message: Répondre en citant

Contrairement au premier volume, le deuxième se concentre plus sur Suzu et moins sur ses soeurs. Du coup, même s'il est loi d'être mauvais et décrit notamment très bien les sentiments de Tada qui a perdu une jambe, ce volume m'a moins intéressé que le précédent, la vie au collège ou au lycée étant déjà très présente dans le genre shôjo. La fin du volume, davantage centrée sur Kôda, m'a davantage plu : la relation entre celle-ci et sa mère, ses certitudes et ses doutes sont très bien montrés.
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Taliesin
Modératrice


Inscrit le : 01 Fév 2004

Message Posté le : 07/07/13 20:43    Sujet du message: Répondre en citant

L'histoire de la grande soeur avec sa mère quoi... Ca m'a vraiment rappelé All my darling daughters ce moment Sourire déjà que le ton général de l'oeuvre évoque un peu Yoshinaga. Ce chapitre, avec le tout premier de la série, est sûrement l'un de mes préférés. Suzu porte le manga, donc on verra ce personnage et ses camarades beaucoup plus que les autres soeurs, mais la série marche vraiment bien. Notamment parce que même si l'héroïne est jeune, le ton et le public du manga sont adultes.

Quant à Suzu et Tomoaki, leur discussion est sympa et ça complète un peu pour ceux qui ont lu Lovers' Kiss. D'ailleurs, on voit enfin la tante de Tomoaki, on parle d'elle souvent dans Lovers' Kiss mais on ne la voit jamais. Ca fait du bien de mettre un visage sur cette senpai de Sachi. Il y a un effet "tout le monde se connaît" dans cette ville, de ce qu'on peut lire par la suite Sourire. Arg, j'ai envie de lire ce volume 2!
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cosmos
Mangaversien·ne


Inscrit le : 02 Sept 2002
Localisation : Suspended between being a nobody, nothing and everything.

Message Posté le : 08/07/13 01:14    Sujet du message: Répondre en citant

Idem pour All my darling daughters dans le dernier chapitre, avec une jeune femme qui réalise pleinement qu'avant de lui donner naissance, sa mère a aussi été une fille, avec elle aussi une mère, et qu'aucune n'était parfaite.

Sinon, j'ai beaucoup aimé ce tome 2, sans doute plus que le premier, malgré quelques difficultés au début. Je m'embrouille totalement dans les noms des frères, pères etc. des camarades de Suzu, de fait le début était plutôt laborieux pour moi, surtout que le manga est très bavard. Mais plusieurs dialogues m'ont touché : la discussion entre Suzu et Tomoaki - je suis toujours très sensible à la thématique du départ, du virage - la collègue de Sachi qui évoque sa mère en réussissant à voir au-delà des attentes qu'elle a déçues, et Yuya et Suzu qui se trouvent un point commun. J'aime aussi la façon dont la mangaka part à plusieurs reprises d'une observation toute simple, voire d'une expression (la lune en plein jour, le serpent sous les fleurs) pour en faire le thème de son chapitre, tout comme certaines anecdotes apparemment anodines peuvent parfois trouver en nous une résonance inattendue.

Comme dans le tome 1, la mangaka trouve la bonne distance pour parler de situations dans lesquelles il serait facile de tomber dans le pathos. Yuya et Suzu évoquent le malaise qu'ils ont ressenti quand des proches les ont plaint à outrance et leur font fait réaliser qu'ils pouvaient inspirer de la pitié, et Akimi Yoshida évite justement ce travers. Qu'elle évoque des relations de famille où rien n'est simple, ou bien des enfants qui subissent des épreuves difficiles, elle réussit à toujours créer l'impression de la vie, par des personnages crédibles qui ne sont ni des parangons de courage, ni de pauvres petites choses faibles : ils font face, doutent, abandonnent temporairement, se reprennent...

Le dosage entre légèreté et gravité passe d'ailleurs beaucoup par la galerie de personnages du manga : là où certains sont plutôt légers et donnent un peu de peps à l'histoire, la sagesse des autres nous offre de bons moments d'introspection ou de compréhension mutuelle. Les enfants de Kamakura Diary sont d'ailleurs plutôt mûrs pour leur âge, mais la mangaka leur donne une voix propre, ce qui évite d'avoir l'impression d'adultes déguisés en enfants.

Et puis un dernier petit détail : ces vieilles maisons japonaises me font rêver, en lisant le manga j'ai eu envie de tirer sur un panneau coulissant et de contempler leur jardin, assis sur leur terrasse en bois ^^
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tigrang
Mangaversien·ne


Inscrit le : 26 Jan 2013

Message Posté le : 12/07/13 23:59    Sujet du message: Répondre en citant

est-ce que chez vous aussi il y a un problème de proportion entre le tome 1 et le tome 2?

Mon tome 2 est plus grand, ça fait tâche dans une collection...
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Gemini_
Mangaversien·ne


Inscrit le : 03 Fév 2011

Message Posté le : 14/07/13 21:02    Sujet du message: Répondre en citant

Un peu déçu par ce second tome. Enfin non, je ne suis pas déçu par le maga lui-même, son histoire, ses personnages, son ambiance... Mais par le travail de Kana, ou plus exactement de la traductrice.

L'auteur utilise énormément de prénoms courts ou de diminutifs pour ses protagonistes ; le plus souvent nous nous retrouvons avec deux syllabes et des lettres qui reviennent sans cesse. Il peut être difficile de différencier, au cours d'une conversation, Yasu et Yuya, pour ne citer qu'eux. Cela fait partie du manga, il faut l'accepter, et cela demande juste un petit effort de la part du lecteur. Seulement... la traductrice elle-même fait des erreurs. Sur un des dialogues les plus importants de ce second tome, elle confond Futa et Yuya, et cela change tout ; sur le coup, je me suis dit que c'était bizarre, et au bout de quelques pages, j'ai eu confirmation que c'était une erreur. Il lui arrive aussi de se tromper entre les prénoms et les noms de lieu ; ainsi, Ofuna devient tantôt une personne (la tante) et un endroit (là où habite la tante).

Alors déjà qu'il n'est pas aisé de s'y retrouver, cela n'arrange rien. Pourtant, c'était la même traductrice sur le premier tome, et cela ne m'avait pas choqué. Le reste de la traduction est irréprochable, il y a même des explications pour certains termes, mais il s'agit d'un défaut gênant.

Sinon, pages 34/35, c'est moi où Tomoaki ressemble énormément à Ash, l'espace d'un instant ?
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- Tu es critique. Cela signifie que tu dois classer les films sur une échelle qui va de "bon" à "excellent".
- Et si je n'ai pas aimé ?
- Ça correspond à bon !
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Taliesin
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Inscrit le : 01 Fév 2004

Message Posté le : 14/07/13 21:53    Sujet du message: Répondre en citant

Tomoaki est un beau gosse de Yoshida, donc oui il ressemble à Ash, évidemment ^^ . Dans Lovers' Kiss, on sait pourquoi il quitte Kamakura.
Dans Kissho Tennyo, Ryou Touno, le beau gosse de la série, a des airs de Ash. Enfin, dans Yasha, la série qui ressemble le plus à Banana Fish, on a le héros et son clone, qui sont des Ash en puissance aussi Mort de rire

[EDIT: évidemment, la raison pour laquelle il quitte Kamakura est tragique... Les héros brisés Sourire elle les aime. Mais dans Kamakura Diary, Yoshida n'est pas aussi sombre]
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Dernière édition : Taliesin le 14/07/13 22:57; Edité 1 fois
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Gemini_
Mangaversien·ne


Inscrit le : 03 Fév 2011

Message Posté le : 14/07/13 22:09    Sujet du message: Répondre en citant

Cela m'a frappé car le reste du temps, je ne trouve justement pas qu'il lui ressemble. Mais sur ces pages, c'est impressionnant.
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